En plein mois d’Août, ça bouge du côté de notre ami Google, et c’est du côté des sitelinks que la firme américaine semble faire de nombreux test qui pourraient bien changer la donne concernant les noms de marques…
Cette nouveauté n’est pas encore placée sur tous les datacenters puisque je ne l’ai pour ma part que sur FireFox, sur lequel mon datacenter doit être spécifique. Il est important de rappeler que cette mise à jour intervient sur le moteur français également (je pense pareil sur le Google.com, je n’ai pas été vérifier).
2011, l’année des changements :
Alors que Yahoo et Bing décide d’unir leur algorithme pour ne laisser plus que les résultats émanant de Bing sur les deux moteurs, Google s’emploie à faire un grand ménage de 2011 dans ses résultats.
Là ou d’habitude les résumés de début d’année sont généralement assez vide et creux du genre, il c’est passer cette petite mise à jour de l’algorithme à telle période de l’année 2010, il va être important voir même crucial de faire un bon checkup à la fin de l’année vu au rythme ou va Google dans ses changements.
Entre l’ogre Panda qui fait frémir dans toutes les chaumière SEO ou encore la mise à jour de l’algorithme de Juin, c’est sans parler de l’implémentation de Google Shopping et des tests concernant la mise des annonces adwords en bas de page que je vous indique aujourd’hui le changement radical des sitelinks…
Les sitelinks, toujours été en mouvement :
Ce n’est pas nouveau, Google aime changer les sitelinks, horizontale, verticale, récupérant les actualités ou les catégories, bref, si il y a bien une chose mineur qui bouge souvent, ce sont les sitelinks…Oui mineu nous avons dit, mais là ça semble devenir un acte majeur !
Je vous laisse constater par vous même ce que cela donne sur notre nom d’agence webmarketing « Kelcible » (voir ci-dessous)
Cela fait la même chose si vous taper « Fnac », « Science po Lille » par exemple…Certains d’entre vous voient déjà bien où je veux en venir ? Qu’en est-il du squat de marque, véritable danger…
Squat de marque, une lutte à double tranchant :
Il n’est pas rare de trouver sur internet des petits malins fans d’affiliation vouloir ranké sur des noms de marques.
Même si cette technique reste quand même très difficile à mettre en oeuvre lorsqu’il s’agit de grand groupe, elle est beaucoup plus simple à faire pour de petites marques montantes…
Je ne vais pas vous donner tout en pâture ici mais n’est-ce pas la porte ouverte aux techniques blackhat de squat de marque que Google; en tentant vainement d’erradiquer, offre au premier SEO venu…?
Toujours est-il qu’une nouvelle fois les règles du référencement naturel sont changée, et une nouvelle fois la visibilité du plus grand nombre se voit réduit à des sites leaders, quelle sera la prochaine mise à jour de notre moteur hélas préféré.
Je crois que c’est le contraire 🙂
Sinon, il reste toujours 9 autres résultats sur la Serp en moyenne. Ca ne fera donc sans doute pas de différence avec les méthodes que tu cites pour aller squatter des positions sur les noms de marque.
En revanche, avec ces liens, les squatteurs verront leur visibilité se réduire.
Mais si cela devait s’étendre aux résultats « naturels » le moteur s’attaquerait à la qualité et la pertinence de ses propres affichages.
Espérons qu’on y échappera.
Sinon, le problème n’est pas forcément les 9 restants, mais plus la possibilité d’une personne à ce positionner à la place d’une marque et ainsi profiter des fruits de la notoriété de celle-ci …c’était clair ?
Pour philippe, c’est une bonne question, la logique voudrait quand même que non…
Sinon, comment comprendre que pendant ce temps, Google autorise tout le monde à enchérir sur les noms de marques à travers Google Adwords ?
Bizarre non ?
Autre chose – la fusion Yahoo bing ne donnera pas lieu a des résultats identiques au niveau des résultats naturels – Il y aura des similarités mais les résultats sont tout de meme bien distincts
On peut ainsi se retrouver avec un site naturellement bien référencé qui perd un nombre considérable de visiteurs juste à cause de cette baisse mécanique due à la présence de trop de liens « Google ».
Beaucoup de sites et donc de sociétés risquent de ne pas y survivre et cela ne garantit pas pour autant une meilleure qualité du moteur puisque les autres liens « Google » sont également choisis mécaniquement.